De la guerre

La guerre ne sert à rien,

Sinon à faire pleurer

Les veuves et les orphelins,

Dont la guerre a volé

Tous ceux qu’ils ont aimés.

Derrière cet air noble,

Se cachent des scènes ignobles.

Fierté de leur patrie.

Vaut-elle vraiment le prix

Payé par tous ces morts

Enterrés là dehors,

Essayant de racheter le tort

Qu’ils ont fait à leurs familles,

Laissant leurs femmes veuves et

Leurs enfants pupilles ?

Ah ! Elles sont belles les patries

Avec leurs guerres !

Mais dites-moi donc, franchement,

À quoi ça sert ?

Prière de ne rien dire,

Et d’écouter ce que j’ai à dire.

A un sentiment tout neuf qui,

à nouveau me prend

La vie est cruelle

Croyez-moi

Si vous ne le savez pas encore

Ouvrez grand vos oreilles :

« Je lève le poing en l’air,

Et je crie espoir.

De voir un jour régner la paix dans

ce monde,

Devenu immonde.

Tous ça, à cause de ces maudits traitres,

Qui ont des pierres,

À la place du cœur.

Cet après-midi, ma plume en colère,

Voilà ce qu’elle vous apporte,

Sans même frappé autant à la porte,

Pour le bien-être de l’humanité, cher fan, ton phane

désire autant être l’apôtre !

Jamais reconnue, je signe ce qui suit de mon nom de plume !

Phane

Amitiés à vous fidèles lecteurs qui m’accompagnez dans mes déambulations intérieures.

2 réflexions au sujet de « De la guerre »

  1. Alors que le continent européen s’apprête à commémorer ses Libérateurs, arrivés du monde entier par nos plages, tes mots revêtent un sens particulier, Phane.
    Oui, à quand le triomphe du pacifisme ?

    J’aime

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