Un voyageur d’un grand espace,
De sa grande fortune un cœur qui se prélasse.
Voué d’un don à un éclat d’impertinence,
Il est un généreux tellement d’une richesse abondante.
Il éclaire les routes sombrent,
Et reste simple à des discours banal.
Un majestueux royaume qui est admirable,
Un prêtre séduit par une humilité si formidable.
Un merveilleux rêveur qui enchante nos matins,
Un audacieux philosophe étourdi par le lointain.
Sa guitare
Un jour il prend sa guitare et part,
Cherchant ses mélodies perdues quelque part.
Sans jamais avoir prévenu sur son départ.
C’est comme ça qu’il aime vivre sa vie.
Sans avoir à dire adieu.
Pour lui, c’était ce qu’il y a de plus douloureux
C’est pourtant ce qui lui déchire le cœur
D’être loin de ses meilleurs
Mais c’était le prix de la liberté
Qui devient son essence pour chaque heure
Pour l’éternité.
Qu’il voyage c’est toujours mieux,
Tant que c’est ce qu’il veut.
Il le sait
Car l’horizon brille dans ses yeux
Embrase et alimente son feu
Celui du salut
De la résurrection
Qui commence à prendre vie,
Peu à peu avec ses symphonies.
Compositeur depuis mille et une nuit,
Âme musicienne jusqu’à l’infini.
Jamais reconnue,
je signe ce qui suit de mon nom de Plume !
Phane.
Amitiés à vous fidèles lecteurs qui m’accompagnez dans mes déambulations intérieures.
Soyez un peu de moi,
Comme je suis un peu de vous…